Notre laboratoire étudie l’interaction entre la mycobactérie, la tuberculose et le système immunitaire de l’hôte, en mettant l’accent sur l’interaction initiale entre la bactérie et le macrophage. Il existe une variété de techniques de perturbation génique utilisées dans les macrophages, y compris les technologies ARNi et les technologies CRISPR. L’un des principaux défis est la faible efficacité de la perturbation génique dans les macrophages.
Ce protocole permet la manipulation génétique rapide et efficace des macrophages primaires sans avoir besoin de clonage et de construction de plasmides. Ces méthodes devraient être largement applicables en immunologie, permettant aux chercheurs de perturber les gènes dans les macrophages primaires pour un large éventail d’études.